Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 14:27

 

 

 

Être pris pour un imbécile par un sot

serait, paraît-il, un plaisir de fin gourmet…

 

Discutable, si l’on en juge par notre réaction à la lecture des « articles » peu ragoûtants qui paraissent sur le blog du catalan déçu, articles dont l’intention salissante manifeste ne se nourrit que de jugements sur les hommes, oubliant au passage l’essentiel : les responsabilités que le suffrage leur a confiées !

 

Quoi !, nous dit-on, vous lisez ce type de production ?

 

En vérité, non. Mais il y a toujours quelqu’un qui connaît quelqu’un qui a lu. Et qui raconte. Nous nous sommes donc rendus sur ce site, un peu comme on se punit lorsqu’on veut, par devoir, boire le calice jusqu’à la lie.

 

C’était bien ce qu’on nous en avait dit : une somme de sottises dont la laborieuse formulation renforce, sous couvert de « vérité », le pitoyable sentiment d’un méchant règlement de compte. Y transpirent l’aigreur, la mauvaise foi et la partialité. Y triomphent l’insulte, l’invective et bien sûr le mensonge. Nous nous trouvons bien là en présence d’un « outil », calibré pour faire écran et diversion, semant à tout va ragots et vilenies. Ses concepteurs et le plumitif de service savent bien la force de la calomnie.

 

Peut-on répondre à ce type de communication ? Faut-il d’ailleurs y répondre ? Nous savons tous que les médiocres n’existent que par l’attention qu’on leur porte, attention qui alimente elle-même la démesure de leurs prétentions. Faut-il donc participer par nos réponses au « gonflement de la grenouille » ?

 

Non, bien sûr. Nous promettons donc de ne plus lire cette bien vilaine « feuille » à laquelle nous nous adressons cependant aujourd’hui, pour solde de tout compte :

Messieurs, vous qui croyez vous cacher derrière un courageux anonymat pseudo- « militant », nous savons qui vous êtes et que vous agissez en service commandé. La teneur de vos propos ne laisse bien entendu aucun doute sur vos commanditaires. Vous pensez bien servir votre maître en accomplissant avec zèle ses basses œuvres,  en échange sans doute de quelque avantage en nature, puisqu’on ne peut parler ici ni de raison ni de convictions. Tout se saura un jour qui ne semble plus si lointain désormais.

 

Nous pourrions pourtant ici même vous donner quelques idées pour tenter de redresser une situation désormais compromise. Il vous faudrait pour cela prendre l’exact contre-pied de ce que vous faites : analysez d’abord les arguments plutôt que les comportements et voyez ce que les uns doivent aux autres.

Il est vrai que cette démarche requiert un minimum d’objectivité et de bonne foi. Si l’un d’entre vous pense en être encore pourvu et que, pris de remords il s’essaye à penser, nous nous devons de le mettre en garde : ses certitudes s’envoleront et il connaîtra un grand moment de solitude.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez