Et moi je dis
La Vérité !
A l’heure où la vie sépare les familles, des personnes s’amusent avec malice à interpréter mes paroles … des propos désobligeants ou amers ont été relevés sur certains blogs à mon encontre … maintenant je sais, je sais que je gêne, que mon groupe gêne !
Je sais que nos convictions et notre liberté de ton dérangent … On ne nous entraînera pas dans des débats obscurs, ni dans des actions et des compromissions dont le seul but est de servir les ambitions personnelles d’un groupuscule.
Mon équipe et moi-même, nous nous sommes présentés pour défendre un territoire, une collectivité, pour installer Saint-Cyprien dans la paix sociale, en présentant un programme ambitieux pour la ville.
Le fait que nous soyons dans l’opposition, de doit pas nous éloigner de ce cap. Bien au contraire notre responsabilité et notre vigilance doivent être encore plus grandes vis-à-vis de l’actuelle municipalité.
Notre groupe s’inscrit dans le débat démocratique, dans la défense des valeurs républicaines mais en aucun cas il ne peut s’appuyer sur des méthodes qui incitent systématiquement à la délation, au dénigrement et à l’intolérance !
Le procédé est tellement connu que je pourrais m'en amuser s'il ne mettait directement en cause mon intégrité et celle de mon groupe.
Je ne peux renvoyer à plus tard le soin de clarifier publiquement un engagement qui visiblement dérange. Je stoppe ainsi – au moins provisoirement - la course aux interprétations malintentionnées qui présentent mon groupe et surtout moi-même comme habitués aux tortueux calculs politiciens !
Les méthodes que « certains » utilisent se découvrent !
Il s’agit là, sans doute, d’un vague avant-goût de la campagne que ces « certains » préparent déjà.
Avant de relater en détail les faits qui défraient la chronique de certains blogs, je souhaite affirmer que je n’entrerai pas en polémique avec ceux qui m'attaquent et cela au nom d’un intérêt supérieur, celui des Cyprianencs, dont l’avenir est lourdement hypothéqué par l’action de l’actuelle majorité.
J’ai rencontré, parmi les 800 à 900 invités présents aux vœux du maire, samedi 7 janvier un journaliste de l’Indépendant. Nous avons échangé quelques mots pendant que le maire recevait toujours ses invités à la porte du gymnase, en attendant que la cérémonie commence et que le maire monte sur l’estrade, le podium, non plutôt la scène.
La cérémonie n’avait donc pas commencé !
Toujours très sympathique et avenant, ce journaliste est venu en effet me saluer et me présenter ses vœux, nous avons échangé sur les fêtes de fin d’année mais aussi sur nos congés et sur l’année qui commençait, sur le travail.
Au cours de la discussion qui n’a pas été très longue, nous avons évoqué la décoration de la salle : deux écrans géants, une sono plus imposante, mais aussi une décoration plus sophistiquée. J’ai apprécié la toile tendue et les ombres chinoises qui y étaient incrustées au-dessus de la scène.
Surprise au départ par le changement d’heure, j’ai indiqué que je pensais que cet horaire pouvait convenir aux personnes âgées qui ne sortent pas le soir et aux enfants puisqu’il était annoncé des jeux et un après-midi récréatif.
Jusque-là rien de bien croustillant, rien de bien polémique, aucun satisfecit au maire. Alors, quand il y a amélioration ou intérêt dominant pour la jeunesse ou pour nos aînés, cela ne me pose aucun problème de le dire !
Nous nous sommes quittés en nous souhaitant une merveilleuse année… Le maire n’avait toujours pas commencé son intervention, certains diront son show !
Je n’ai pas félicité le maire, pour quelle raison aurais-je besoin de le faire, pour quel événement ?
Voilà deux ans en effet, qu’élue avec mon équipe, nous sommes toujours mis à l’écart au mépris d’un fonctionnement démocratique normal et nous restons toujours scandalisés par les nombreux dysfonctionnements de la majorité.
Je n’ai pas félicité le maire ! Et je n’avais pas à le féliciter !
Nous n’avons même pas échangé un seul mot. Pourquoi ne pas lui demander ? Il vous confirmera tout cela si nécessaire ! Quel intérêt aurait-il à mentir pour une si petite chose ?
J’ai rencontré quelques temps après un salarié de la mairie (cadre), il m’a annoncé son mariage en décembre dernier et m’a présenté son épouse… jusque-là rien de bien étrange ? Non ?
Nous étions au milieu des chalets blancs du marché de noël, j’ai trouvé que c’était sympathique et intéressant de les réutiliser pour le moment des vœux à la population.
Voilà mes seuls propos. Quelle histoire !!!
Qui se termine là, avec ces écrits car l’on ne joue pas longtemps avec une balle qui ne rebondit pas !
Je sais écouter, je sais dialoguer, je sais aussi que je suis engagée sur ce qui doit prévaloir lorsqu’on veut administrer le bien public : une scrupuleuse honnêteté !
Après le discours du maire, discours inadapté à la cérémonie, discours déplacé, mais je vous laisse juger au travers de ces quelques extraits pris sur le blog ouillade.eu :
(…). J’indiquerai simplement que tout ce qui ne tue pas vous rend plus fort… Et vu le nombre d’attentats médiatiques et judiciaires fomentés par ceux qui n’ont que l’amertume comme goût à la bouche, je vous prie de croire que ma carapace a poussé à la vitesse grand V !
Je ne me complais pas dans la polémique de cour de récréation ou de caniveau.
Donc restait la solution de la recette exceptionnelle, celle de la vente du camping Al Fourty. Cette vente s’est opérée dans les règles du droit et elle s’est faite, je le répète, en toute transparence. Le feuilleton médiatique et judiciaire concernant le camping Al Fourty auquel vous avez eu droit tout au long de l’année, s’est terminé en peau de chagrin pour nos détracteurs. Le tribunal administratif de Montpellier, suite aux dépôts de plaintes d’irresponsables, a rendu sa décision quant au dossier de l’ex-camping municipal Al Fourty de Saint-Cyprien, lors de l’audience du 21 octobre 2011.
La justice a ainsi rejeté la demande déposée par les irresponsables qui sollicitaient l’annulation de la délibération de la commune de déclassement du camping du domaine public et donc l’annulation de la vente. Je peux vous dire que les irresponsables ont été condamnés à verser 1 000 euros au titre des frais engagés par la commune dans cette affaire (…).
Où est la noblesse de la politique ?
La noblesse de l’engagement en politique ne devrait-il pas en constituer le socle : le sens du service public, l’exigence de justice, le respect du citoyen.
A vous de juger !
Il est évident que nous avons mieux à faire qu’à souligner nos petites déconvenues personnelles et autres blessures d’amour-propre.
La Politique avec un grand P ne permet pas l’ambiguïté et c’est en toute transparence et sans aucun mauvais esprit, que je réaffirme que l’objectif que nous réclamons est toujours aussi clair :
1. Redressement financier,
2. Redressement démocratique
3. Redressement de la morale publique
4. Redressement de la commune
Redressements dont pour ma part, j’ai la faiblesse de croire qu’ils seront possibles sur la base de valeurs sincères et transparentes et sur la participation des habitants, plutôt que par l’affichage d’appartenances politiques ou de programmes, aussi ambitieux ou de bonne volonté soient-ils.
Pour cela, toute l’énergie, toute la force d’âme, tout le caractère sont utilisés à la défense des intérêts de cette ville.
La trajectoire, est la même depuis le début, je ne change pas de camp … nous ne changeons pas de camp !
Une recommandation … que je fais à chaque fois et à moi-même en particulier, le rappel de cette règle, celle de placer le débat au bon niveau, d’être exemplaires dans notre conduite, d’être capables d’aller sur les sujets qui nous opposent et qui doivent intéresser les Cyprianencs.
Ce qui suppose bien sûr :
- - Engagement personnel,
- - Nécessité de transparence,
- - Attention aux autres,
- - Probité et souci d’équité.
-
Sur la base de ces exigences éthiques, dans l’oubli de tout intérêt personnel ou partisan, pour qu’au plus vite soit mis fin à des pratiques politiciennes et soient levées les suspicions d'affairisme qui font l’indignation de tout citoyen éclairé et de bonne foi !
Fermes et, en même temps, sérieux, enthousiastes et respectueux des Cyprianencs ; Parce que ce qui compte, c’est la victoire de Saint-Cyprien