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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 17:49

 

 

HONTE SUR LA VILLE !

 

OUI ! M. le Maire, la population est lasse de vos mensonges et du climat de tensions que VOUS alimentez par votre dangereuse contrefaçon de la démocratie.

 

 « Il n’y aura pas de démocratie jusqu’en 2014 »

(déclaration publique du maire au Conseil Municipal du 7 Octobre 2011)

 

Un maire qui déshonore son mandat et clame son refus de la démocratie. Un maire qui pour justifier ce parjure d’un élu de la République ment jusqu’au « flagrant délire » 

Il déclare : « l’opposition a choisi de placer le débat sur le terrain judiciaire » Il oublie que durant des mois, et dès le début de son mandat, il s’est enfermé dans la pratique d’un pouvoir ultra personnel, opaque et clanique : commission fantôme et commissions fantoches – dissimulation des informations et des documents publics (y compris à l’encontre des avis de la CADA), conseils municipaux à l’ordre du jour surchargé, irrespect des usages républicains

Un maire qui a renvoyé lui-même le débat sur le terrain judiciaire en rétorquant sans cesse aux élus insoumis : « si vous estimez que cela vous porte préjudice, faites des recours »

Il a été écouté : les recours en justice ont été faits. C’était la seule voie possible pour combattre une pratique autocratique aux conséquences gestionnaires désastreuses pour la commune.
Un maire dont l’autoritarisme ne s’appuie que sur la revendication abusive de son titre issu des urnes et de son pouvoir de police en assemblée. Il impose sa tyrannie de la « majorité », majorité relative (47% des votants), minorée (dissidence des élus de P.U.G.N.A.C.E) et trahie par le total  irrespect des engagements pris devant les électeurs : le redressement financier et moral de la ville. La création d’un club house pour la pétanque était-elle une priorité ? Et la vente du terrain de la cave coopérative à une société écran ? Et la vente d’Al Fourty dans les conditions scandaleuses que l’on sait ? Et les tricheries sur les marchés et les recrutements ?
Un maire oublieux de ses devoirs et qui outrepasse ses pouvoirs par ses contournements répétés de la loi : l’abus est signifié dès janvier 2010 par son refus annoncé par voie de presse de réunir un Conseil Municipal Extraordinaire (obligeant le tiers des élus demandeurs à recourir aux tribunaux pour obtenir l’application de la loi républicaine)

Un maire qui viole la loi par ses dénis de justice : dernier en date, son refus de se conformer au jugement du Tribunal d’Instance de Perpignan du 15/07/2011 qui condamne l’EPIC Office du Tourisme à créer un Comité d’Entreprise sous peine d’une astreinte de 50 euros par jour de retard à compter de la notification de cette décision. L'Inspection du Travail, dans un courrier du 3/10/2011 demande l'exécution de ce jugement, en rappelant qu’elle avait déjà alerté de l'obligation d'un comité d'entreprise (par courriers des 19/04/2010 et 12/08/10) Le 03/10/2011 l'Inspection du travail rappelle même "que tout manquement à une mise en place peut constituer un délit d'entrave pouvant entraîner un an d'emprisonnement et une amende de 3750 €". Fin octobre 2011, le maire reste sourd aux injonctions des juges. L’EPIC OT a déjà cumulé 4750 euros d’astreinte, le prix du refus par le maire/président de l’EPIC de respecter une décision de justice. Les contribuables cyprianais en paieront la note qui grossit chaque jour.

Un maire qui honnit ces débats judiciaires et médiatiques car il veut museler l’opinion comme il interdit le débat démocratique. D’où ses plaintes contre les blogs et son jeu trouble : il s’insurge contre la polémique mais l’alimente clandestinement par l’entremise de son blog masqué. Il se dresse contre la liberté d’opinion, la liberté d’expression et de la presse qui sont les clefs de la démocratie comme la justice en est la garante.

Un maire qui ignore que la Démocratie ce n’est pas seulement l’élection, la conquête du pouvoir, mais son exercice dans la légalité et l’intérêt public. « L’opprobre » qu’il nous accuse de jeter sur la commune ne touche que les personnes – le maire et d’autres – qui s’obstinent dans l’illégalité ou pire se livrent à des pratiques que la loi pénale réprouve.

 

OUI ! Nous voulons rendre à la commune sa dignité en faisant respecter la loi et la morale Républicaine que Thierry Del Poso viole effrontément.

 

OUI ! Nous voulons rendre à la fonction de maire la respectabilité que Thierry Del Poso compromet par ses mensonges, ses irrégularités et ses délits. Le « maire » dénonce le « harcèlement judiciaire », fustige les « plaintes de tous les mardis matin » et par cette pirouette indécente tente  « désespérément » d’imposer SA notion restrictive d’une « démocratie de la critique constructive »  c’est à dire d’un chèque en blanc à la Roméo et de Sars. Le « maire » s’arroge le droit de suspendre la démocratie dans sa commune jusqu’à la fin de son mandat légal. Plus grave, il nie la réalité judiciaire d’aujourd’hui à Saint-Cyprien. Mais cette réalité judiciaire le rattrape :

1 / les actions des élus : recours en annulation des actes au Tribunal Administratif (une quinzaine dont les 3 premiers jugements rendus ont rectifié les illégalités de l’EPIC TOURISME, les autres sont en instruction), autres recours via la CADA (pour dissimulation de documents) et 4 plaintes au pénal pour délits de faux et usage de faux en écriture publique, prise illégale d’intérêt, favoritisme, corruption et trafic d’influence, toutes considérées recevables par le Procureur de la République et transmises à la Police Judiciaire pour enquête préliminaire.

2/ les autres recours des particuliers (5 à notre connaissance) : les propriétaires de mobil homes ou des fonctionnaires municipaux (policier maltraité, agent de l’EPIC licencié et syndicaliste de l’EPIC)

 

Ce maire, braconnier de la loi et de la morale républicaine, jette le discrédit sur sa ville.

Voici ce que titre FR3 après la prestation du maire :

« Saint-Cyprien n’a pas bonne réputation »,

(Site FR3 Languedoc Roussillon article du 14/10/2011)

 

Qui jette « l’opprobre » sur la ville ?  Qui déshonore le mandat de maire ?

LES MENSONGES DU MAIRE EN DIRECT : UNE ESCALADE !

 

« Nous avons à faire à une équipe qui nous dit que j’ai cédé un fonds de commerce » - FAUX Ce n’est pas notre grief : nous l’accusons, non pas d’avoir cédé un fonds de commerce, mais d’avoir fait une cession frauduleuse de la licence et de la clientèle.

« Il n’y a pas de fonds de commerce qui puisse être exploité par l’Office du Tourisme » - FAUX Le statut juridique et fiscal de l’EPIC est incontestable : l’Office Tourisme est un Etablissement Public Industriel et Commercial qui exploite les campings sous le régime fiscal des entreprises et le code du travail.

« Nous avons vendu un terrain à usage exclusif de camping… » - FAUX - L’acte notarié atteste la vente «d’une assiette foncière» qui n’a en aucun cas «une activité de camping»

« … et nous l’avons vendu 10 Millions »  - ARCHI FAUX Encaissé 9,5 millions d’euros contre une proposition EDF NEXITY de 12 millions d’euros.

 

Des énormités lâchées devant la caméra. Il soutient devant la caméra FR3 le contraire de l’acte notarié montré dans le reportage. Cet homme est un menteur, un manipulateur d’opinion.

Ce maire est indigne de son titre et de la démocratie.

 

NOUS AVONS HONTE POUR LUI ET POUR TOUS CEUX QUI LE SOUTIENNENT !

 

 

CAP ESPOIR POUR MA VILLE

 

Association à seule vocation communale qui est avant tout un espace de rassemblement et d’action des Cyprianais pour la restauration de la vie démocratique dans l’intérêt général et le respect de chacun.

 

SVP Ne pas jeter sur la voie publique

 

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Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
31 octobre 2011 1 31 /10 /octobre /2011 17:24

 

Sous l’ère Del Poso, Saint-Cyprien devient peu à peu une ville de NON DROIT(S).


 

 

Est-il tombé sur la tête ?


  après avoir annoncé qu’il n’y aurait plus de démocratie jusqu’en 2014, ne voilà-t-il pas que le maire s’en prend à un salarié, délégué syndical, qui vient d’obtenir de la justice l’obligation pour  l'EPIC Office du Tourisme de créer un Comité d'Entreprise, comme la loi l'impose pour les établissements de plus de 50 salariés. Depuis le 18 juillet 2011, cette obligation s’applique et s’accompagne de 50€ d’astreinte par jour de retard. La somme devient peu à peu conséquente suite à l’obstination du maire qui refuse d’obtempérer.


 Rien n'y fait, ni la simple obligation légale, ni la pénalité financière payée par nous tous, les contribuables.

Thierry Del Poso refuse de se conformer au jugement du Tribunal d’Instance de Perpignan et n’écoute pas l’Inspection du Travail qui demande l’exécution de de ce jugement.


Mais, hélas ce n’est pas tout ! A ce déni de justice, se rajoutent les représailles : une signification de retenue sur salaire est envoyée à ce salarié, délégué syndical par lettre du 26 octobre avec application immédiate, c’est-à-dire dès le mois de novembre.

Et cela au nom du respect dû à un jugement que l’EPIC lui-même ne respecte pas. (Vous trouverez l’intégralité du dossier sur le blog : http://c.f.t.c-saint-cyprien.over-blog.com/)

 

Mais que cherche-t-il ?


A allumer des feux un peu partout pour éloigner les attaques sur sa gestion ou veut-il politiser son opposition et la faire glisser de la protestation morale au combat politicien classique, les syndicats contre lui ?


Est-il à ce point ignorant ?


Le syndicalisme français a proclamé, le 13 octobre 1906, par la Charte d’Amiens son indépendance vis-à-vis des partis politiques.


Un syndicat est une association de personnes dont le but est de défendre les droits et les intérêts sociaux, économiques et professionnels de ses adhérents. C’est un regroupement de salariés (actifs, chômeurs et retraités) qui, au-delà de leurs choix politiques, philosophiques ou religieux, s’unissent afin de défendre leurs droits, d’en obtenir de nouveaux et de se faire respecter.

La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau du 21 mars 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la révolution française (1791) avait interdit tout groupement professionnel, ce qu’on appelait à l’époque les « coalitions » … ce qui revenait à prohiber toute forme de syndicalisme.


Le droit d’adhérer à un syndicat et de défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale a été ensuite réaffirmé dans le préambule de la constitution de 1946.


Les syndicats ont permis de grands progrès.


Etre syndiqué, c’est faire quelque chose au sein de son organisation et vis-à-vis des salariés non syndiqués. 

 Le délégué syndical est l’une des interfaces entre les salariés et l’employeur. Il a pour rôle, entre autres, de toujours tenter d’améliorer les conditions de travail.


Nous relayons donc «  l’urgence-solidarité » de l’association Cap Espoir Pour Ma Ville, appel que vous trouverez dans son intégralité sur le blog du groupe municipal  PUGNACE.

 


                                      CAP ESPOIR POUR MA VILLE


 « CAP ESPOIR POUR MA VILLE » est une association apolitique, à seule vocation communale. L’association qui réunit notamment 8 élus municipaux (groupes Pugnace / Sadourny) est avant tout un espace de rassemblement et d’action des Cyprianais pour la restauration de la vie démocratique dans l’intérêt général et le respect de chacun.

 

 

 


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Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 05:26

 

 

Après le couvre-feu sur la démocratie,

   le maire décrète


L’état de siège à l’ex-camping du Fourty.

 

Acte 1     Mercredi 26 octobre 15h : alertés par mail ou téléphone de la possible présence du préfet à Saint-Cyprien, une vingtaine d’habitants se retrouvent devant l’entrée de l’ex-camping du Fourty, cédé par le maire, « nu et sans fonds de commerce »,  aux appétits d’un privé. Impossible d’en franchir le portail puisqu’un cordon de 10 à 12 gendarmes en interdit l’accès. Interloqués par ce déploiement de force, les cyprianais assistent médusés à l’entrée impériale d’une voiture avec à son bord le maire mal-aimé.

Le cordon de gendarmes se reforme après le passage du vendeur.

On suppose que les autres personnalités sont déjà à l’intérieur.    

                                                                                                        

 Fin du premier acte. On attend.


Acte 2   On va aux nouvelles : contrairement aux attentes, le Préfet n’est pas là en personne mais son secrétaire général a fait le déplacement pour présider… une simple commission de sécurité !  Les forces de l’ordre auraient été réquisitionnées pour assurer une haie d’honneur au représentant de l’état. Nous respirons : les gendarmes ne sont pas là pour nous, ni même pour le maire.                                                                                                                                                      

Pourtant, nous observons que M. Dufraisse, Directeur de cabinet du maire, légèrement pincé, et le jovial M. Civale, juriste municipal, épaulent les forces de l’ordre : identifier les possibles trublions relève apparemment de leurs fonctions. Ils ont fait don de leur personne et renforcent avec beaucoup de sérieux la garde prétorienne.

Des regards se croisent, des mots s’envolent.                                                                                                                                                             

Fin du deuxième acte. On attend.


Acte 3  On s’explique : la presse s’approche, sans escorte, du groupe des          dangereux badauds.                                                                                                                                                                       

-- Que faites-vous ici ? Vous manifestez ?  Contre qui ou contre quoi ?                                                                                                            

--Nous ne manifestons pas, du moins aujourd’hui. Nous sommes ici  pour constater !      

                                          

Constater la présence de l’Etat, en la personne du Préfet ( ! ou du Sous-Préfet), venu pour autoriser la poursuite d’exploitation d’un camping qui n’existe pas mais qui fonctionne depuis plus de 9 mois.                                                                                                                                              

L’Etat qui ne s’est pas ému pour l’instant des plaintes déposées par 50 propriétaires de mobil-homes qui s’estiment grugés.

L’Etat qui ne bronche pas sur les conditions de vente de l’ex camping, conditions de vente  qui font pourtant l’objet d’une procédure judiciaire.                                                                               

Constater ou du moins redouter l’instrumentalisation d’un évènement somme toute banal, une simple commission de sécurité, à des fins politiciennes.   

                                                                                                                                                                                                                                                             Fin du troisième acte.  Inutile d’attendre, « ils » ne sortiront pas.                                                                                                                                      

On quitte les lieux. 

                                                                                                                                                                     

Le cordon de gendarmerie se disloque.       

                                                                                                                                                        Le siège est levé.                                                                                                                                                                                 

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Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 11:07

 

COUVRE-FEU SUR LA DEMOCRATIE 

  

Le site Perpignan Politique  (http://www.perpignan-politique.info/) nous a demandé une réaction aux derniers propos de Thierry Del Poso :

 

« Il n’y aura pas de démocratie à St Cyp jusqu’en 2014 ».

 

Vous trouverez ci dessous le lien:

 

http://www.perpignan-politique.info/apres-le-coup-declat-dictatorial-de-thierry-del-poso


                           http://www.perpignan-politique.info/apres-le-coup-declat-dictatorial-de-thierry-del-poso

 

Il est fort rassurant de constater que les démocrates de tous bords réagissent et s’insurgent unanimement contre l’énormité de cette affirmation. Certains commentaires peu flatteurs s’interrogent même sur la véritable personnalité du maire !

Pour aussi intéressantes qu’elles soient, ces explications ne sauraient faire oublier les faits et l’intérêt des cyprianais.

 

C’est pourquoi, pour notre part, nous avons fait sobre mais nous arrivons à une conclusion définitive : ça suffit !


 

                   Ci-dessous l'article en ligne.


« Il n’y aura plus de démocratie à Saint-Cyprien avant 2014″


Voilà donc la stupéfiante et impudence affirmation du maire de Saint-Cyprien au cours du dernier Conseil municipal du 7 octobre ! Une déclaration qui attise les ressentiments et les exaspérations. Une déclaration tout simplement scandaleuse, mégalomane donc dangereuse.


 Pour les opposants que nous sommes, rien de bien nouveau pourtant : depuis son élection voilà déjà plus de 2 ans, Thierry Del Poso, avec la complicité d’une majorité aux ordres et sans personnalité propre, ne vise apparemment qu’un seul objectif : étouffer le désir de démocratie qui avait prévalu lors de la campagne électorale, au point même de refuser tout droit de contrôle à la minorité élue !

Autre objectif déclaré : faire jouer à plein son droit à la décision subjective au nom d’une élection démocratique dont il ne se réclame que pour imposer de façon discrétionnaire ses choix ! Le fait du prince servi par une opacité sciemment cultivée ! 

Dans ces conditions de gouvernance, rien d’étonnant si nous sommes amenés à constater et à dénoncer des prises de décisions litigieuses, des manœuvres politiciennes, des contournements de la loi et autres dénis de justice. C’est que les compétences brutales et archaïques qu’il a fallu pour « prendre le pouvoir » sont apparemment antinomiques avec celles qu’il faut avoir pour l’exercer.

 

Provocateur, Thierry Del Poso ira même jusqu’à narguer cyniquement l’ensemble de ses opposants en leur conseillant d’avoir recours à la justice s’ils ne sont  pas satisfaits.           

                                                                                                                                                  Aussitôt dit, aussitôt fait, d’abord auprès du Tribunal administratif  puis  au pénal, avec 4 plaintes pour faux, usage de faux, favoritisme, trafic d’influence et corruption. Plaintes déposées conjointement avec le groupe Pugnace avec lequel nous partageons les mêmes exigences morales et citoyennes d’ouverture, de transparence et de justice.


Rien de bien nouveau donc et pourtant…


Et pourtant, l’affirmation assumée et claironnée de la confiscation de la démocratie  jusqu’en 2014, marque une étape nouvelle dans l’escalade autocratique et despotique du maire et de ses conseillers silencieux.


Comment accepter que le premier élu d’une commune soit à ce point irresponsable et impudent qu’il outrage ouvertement les principes mêmes du pacte républicain qui l’ont fait exister ?

 

Demain peut-être, s’arrogera-t-il le droit de signer des lettres de cachet pour se débarrasser d’opposants encombrants ? A moins que la justice, pressant le pas, ne mette fin à une mascarade qui n’a que trop duré…


Si l’on en croit Jules Romain, la démocratie est d’abord une façon de vivre où les gens osent se communiquer les choses importantes, toutes les choses importantes, où ils se sentent le droit de parler comme des adultes et non comme des enfants dissimulés. 


Nous prenons donc nos responsabilités au nom de cette démocratie  et disons haut et fort que les Cyprianais n’ont pas voté les pleins pouvoirs à Thierry Del Poso, que le maire ne remplit pas correctement ses fonctions, qu’il ne garantit ni les intérêts de Saint- Cyprien ni ceux de ses habitants et qu’ il est temps de siffler la fin de partie.      

 

                                                       

 

 



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Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 10:56
Nous nous permettons de publier en l'état un texte que nous venons de recevoir via notre blog. Comme le dit si bien la personne qui vient d'écrire ce texte ... à vous de juger!

 

 

 

HABITANTS DE SAINT CYPRIEN
   

Voici ce qui s'est déroulé lors de la séance du dernier conseil municipal tenu en mairie

le 7 octobre 2011 à 19 heures et présidé par Monsieur le Maire, T. Del Poso.

 

Trois questions se posent à tous ceux qui se sentent concernés par ce qui se passe

réellement dans notre commune.

   

- Comment le 1er magistrat de cette ville peut-il empêcher une Elue de la République  certes de l'opposition!) de prendre la parole au début de la séance sous le prétexte qu'il ne veut pas l'écouter, étant maire et qu'il peut faire ce qu'il décide?

   

- Comment ce Maire, Monsieur T. Del Poso, peut-il oser prononcer ces mots, dixit :

« Il n'y aura pas de Démocratie à Saint Cyprien jusqu'en 2014 ».

 

- Comment alors, puisque la Morale et le Civisme sont mis en exergue actuellement par le Gouvernement, le Maire peut-il se permettre de tels propos?

 

 Sur le fronton de la mairie de Saint Cyprien, comme sur celui de toutes les mairies de France, est inscrite la Devise Républicaine : « Liberté, Egalité, Fraternité »

 

C'était un moment de Mépris envers les Elus de la République, de non -Démocratie et

même d'Autoritarisme.

 

Nous devons tous nous sentir blessés et meurtris par cette affirmation. Les paroles de

cet Elu Responsable du « Bien être et du Mieux vivre » de Saint Cyprien sont impardonnables et inacceptables.

 

Maintenant, c'est à vous, habitants de Saint Cyprien qui êtes informés, qu'il vous appartient de juger l'attitude et le comportement de celui qui dirige notre commune : Mr T. Del Poso.

                           
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Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 09:25

 

 

     L’article interdit dans Saint-Cyp info par le Maire.

  

 

 

Groupe Municipal SADOURNY



L’histoire serait simplement absurde si elle n’était avant tout scandaleuse. Voilà en effet que le maire et certains cadres, appointés par la commune, ont déposé plusieurs plaintes contre 4 blogs qui, d’après eux, porteraient atteinte à leur honneur par des révélations ou des propos estimés abusifs ou diffamatoires. 

C’est la voie choisie pour nous répondre, plutôt que celle, transparente et démocratique, des réponses aux questions posées au cours des conseils municipaux!                                                                                                                           

« Tout ce que nous faisons est légal, moral et juste. Ce postulat ne souffre pas la contestation. Donc, taisez-vous car il n’y a rien à dire !  » Voilà ce que voudraient signifier les  plaintes contre les blogs, et voilà ce que les juges auront à trancher. 

Tous savent nos motifs d’indignation et le contexte difficile dans lequel nous exerçons notre mission d’élus.

Nous renvoyons donc nos lecteurs à la lecture des 4 blogs, pour y débusquer l’information derrière la communication du maire.

Le blog du contribuable – ADC / Le blog du groupe Pugnace / Le blog de Bernard – Un autre Saint-Cyprien / Le blog du groupe Sadourny /

Voilà donc, une fois de plus une petite manœuvre  politicienne qui en dit long sur  la morale du pouvoir en place qui s’essaye à nier et à écraser ce qu’il ne peut contrôler.                                                                                 

Encore une fois, un conseil inutile  mais de bon sens à la « majorité »: fournissez les documents que l’on vous demande, répondez aux questions que l’on vous pose, faites réellement fonctionner les commissions, respectez la démocratie au lieu de la singer, expliquez l’inexplicable (on ne sait jamais..), et vous n’aurez alors, dans les blogs, que silence, concert de louanges ou contre-propositions constructives.                                                         

En l’absence de cette simple intelligence relationnelle, et face au constat désolant de procédures et décisions inexplicables, décisions que seule la justice pourra qualifier désormais, vous devrez, vous gens de la  majorité continuer à faire face à l’indignation de tous ceux que préoccupe le devenir de notre ville et de ses habitants.



Parce que vous devez savoir !

 

 

 

 

de : "severine tixador" <contact@mairie-saint-cyprien.com>
    à : "marie-pierre-sadourny-gomez@orange.fr" <marie-pierre-sadourny-gomez@orange.fr>
    cc : "pierre-marc dufraisse" <dircab@mairie-saint-cyprien.com> "stephane poisson" <dircom@mairie-saint-cyprien.com> "Philippe PR. RAMOND" <pramond@mairie-saint-cyprien.com> "rémy civale" <rcivale@mairie-saint-cyprien.com> "Agnès AC. CHALLANCIN" <achallancin@mairie-saint-cyprien.com>
    date : 06/10/11 08:29
    objet : Votre article pour le bulletin municipal octobre 2011

     

     

    Madame,

    Vous nous avez transmis un texte à insérer dans le bulletin municipal le mercredi 5 octobre 2011, dont l’essentiel  a pour objet  la défense de 4 blogs.

    Or, certains propos tenus dans ces blogs sont calomnieux, injurieux, vexants, diffamatoires émanant de personnes que certes, vous ne contrôlez pas mais dont vous êtes responsables ; ce dont la justice aura à trancher.
    Ces blogs faisant l’objet de poursuites judiciaires, il me paraît impensable d’en assurer la promotion avant l’issue de l’enquête en cours.

    Ces propos me paraissent donc entrer dans la catégorie de propos polémiques tels que visés dans notre règlement et qu’il m’appartient, en tant que directeur de publication, de contrôler.

    Afin d’éviter tout soupçon de censure, je vous invite à reprendre votre texte et à m’en présenter un nouveau  dans les plus brefs délais. Je vous indique que la date limite d’envoi de votre article vous a été signifiée par courriel le 13 septembre 2011 pour un rendu de votre texte le jeudi 6 octobre 2011.

    Cordiales salutations.

     

    Thierry DEL POSO

    Maire de Saint-Cyprien

    Président de la Communauté de Communes Sud Roussillon

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    Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
    2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 17:02

    Ordre-du-jour-Conseil-Municipal-du-7-09-2011.jpg

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    Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
    19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 15:22

     

     

    T. Del Poso, juge et partie !

     

    Décidément, notre avocat de maire ne manque pas d’air : il brûle la politesse aux enquêteurs, dévoile lui-même les conclusions auxquelles la Police Judiciaire serait arrivée d’après lui, au terme d’une enquête qui le concerne et qui n’a pas encore donné lieu à une communication officielle !

    Qu’on se souvienne : la commission des finances qui devait se tenir le 8 mars 2010, commission préparatoire au débat d’orientation budgétaire, n’avait pu se tenir pour cause d’intempérie : la neige avait rendu les routes impraticables au point que le préfet lui-même avait recommandé à la population de ne pas circuler.

    Or il existe un compte-rendu de cette réunion fantôme fort opportunément utilisé comme preuve de sa tenue.

    La plainte de l’opposition, encore une fois tenue sciemment à l’écart, conduisait donc à une enquête pour usage de faux et pour faux en écriture publique.

    C’est après avoir été entendu par la police judiciaire dans le cadre de cette enquête que, répondant à une question du journaliste de l’Indépendant, T.Del Poso se transforme en juge et déclare, sans le triomphalisme habituel cependant:

     « la conclusion de la police judiciaire est que cette réunion a bien eu lieu, point final, l’affaire est close ».

    Affaire close ? C’est prendre ses désirs pour des réalités.

    Notons d’abord une incongruité évidente : T.Del Poso n’a pas à se substituer à la Police Judiciaire pour claironner les conclusions de l’enquête, forçant ainsi le libre arbitre du Procureur et sa décision souveraine quant aux poursuites éventuelles.

    Habile notre maire ? Pas si sûr…

    Notons également notre détermination : nous avons confiance dans l’intime conviction des enquêteurs pour qu’éclate enfin au grand jour sur Saint-Cyprien le discrédit à l’égard de ces pratiques répréhensibles, car cette réunion n’a pas eu lieu.

    Audacieux notre maire ? En tous cas, un aplomb en forme de va-tout, mais qui ne trompe personne.

     

    Avocat, juge et partie ! Non, décidément, l’affaire n’est pas close.

     

     

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    Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
    16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 00:46

     

     

     

     

     

    Touche pas à nos blogs !


     

    Pour une fois que le maire fait ce qu’il annonce, il le regrettera ! Il ne s’agit pas de promesse électorale, bien sûr, mais d’une menace enfin mise à exécution, menace de théâtre, entre la comédie et le burlesque, menace annoncée solennellement et avec effets de manche par une longue intervention dans la presse de juillet : le maire a donc lui-même et par ses préposés porté plainte.

    D’une part contre les élus qui saisissent la justice de ses égarements et d’autre part contre les blogs dont le franc-parler l’indispose.


    Il a osé porter plainte lui-même, en gendarmerie, contre la dénonciation des délits constatés dans la vente d’Al Fourty. Il n’a craint là ni le ridicule immédiat ni le retour de boomerang. Notre avocat de maire réagit comme un gamin pris en flagrant délit qui trépigne et nie l’évidence. Il prétend d’abord que l’on a imaginé des « délits fictifs » (la justice ne tardera pas à apprécier si la réalité rejoint la fiction). Plus savoureux encore, il dément avoir déclaré lui-même que c’est le Préfet qui a rejeté le dossier NEXITY-EDF et il accuse de cette fausse déclaration … Jean Jouandet : les spectateurs présents au Conseil Municipal du 16 décembre 2010 savent ce qu’il en est et là aussi la justice appréciera sur pièce probante. Le monde zen du maire embrouille-t-il vraiment sa lucidité ou prend-il les juges, comme ses administrés, pour des imbéciles ?


    Dans cette démarche pour plonger la vie municipale dans un confortable brouillard de fiction, le maire et ses préposés (M. Humpage et Mme Targues, bien sûr) ont déposé en gendarmerie une batterie de pétards mouillés destinés à intimider ceux qui dévoilent la vérité. Ils ont accusé les blogs, les 4 blogs qui le dérangent, pas ceux à l’enseigne du burro catalan, ni de son nouveau parti. D’après les plaignants, nous porterions atteinte à leur honneur par des révélations ou des propos estimés abusifs ou diffamatoires.


    Vous, lecteurs de l’un ou l’autre de ces sites ou mieux encore de l’ensemble, vous apprécierez la valeur de cette procédure à son inspiration répressive et à sa volonté de bâillonner les relais d’opinion et d’expression indociles ou insolents. Mais l’effet de ces plaintes sera pervers pour leurs auteurs. Rien ne les fonde, nous en avons démonté les arguments superficiels : elles n’aboutiront qu’à accélérer nos propres procédures, à nous ouvrir en réplique une plainte en dénonciation calomnieuse, à nous conforter dans notre solidarité et notre détermination à dire la vérité à tous, et même à dire leurs 4 vérités aux uns et aux autres.


    Bref, l’inconsistance de ces actions et leur animosité se retournent contre leurs auteurs. Ces plaintes auront un impact exactement inverse à l’attente des plaignants. Nous pourrions les en remercier. Mais pour éviter d’être par le burro taxés de haine ou de mépris, regrettons simplement pour la dignité de la ville que cette impudence, certes coutumière de leur part à notre encontre, les ait conduits à une telle imprudence.


    Non, M. le maire, les affaires ne sont pas closes et nous continuerons à en parler librement : le silence est complice ; nous ne nous tairons pas…


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    Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez
    8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 07:49

     

    «Il faut prolonger le temps d’animation au-delà des trois mois d’été» avait annoncé le maire.  Promesse tenue !

     

    Après l’été, l’automne sera chaud :

    plaintes en rafale,

    feu d’artifice de pétards mouillés, et autres

    menues bassesses !

     

     

     

    La situation serait simplement absurde si elle n’était avant tout scandaleuse. Voilà en effet que notre blog est l’objet de plusieurs plaintes pour des révélations ou des propos estimés abusifs ou diffamatoires ! (les plaintes portent en fait sur 4 blogs)

    Un comble ! C’est donc la voie choisie pour nous répondre, plutôt que celle, transparente et démocratique, des réponses aux questions posées publiquement au cours des conseils municipaux!

    « Tout ce que nous faisons est légal, moral et juste. Ce postulat ne souffre pas la contestation. Donc, taisez-vous car il n’y a rien à dire ! » Voilà ce que voudraient signifier les plaintes, et voilà ce que les juges auront à trancher. Ces plaintes d’ailleurs auront pour premier effet d’accélérer nos propres procédures, ce qui ne peut que nous réjouir.

    Compte tenu de l’en-cours de ces affaires, nous n’examinerons pas les faits ici même. Nos lecteurs savent nos motifs d’indignation et le contexte difficile dans lequel nous exerçons notre mission d’élus. Sachez cependant que chacune de ces plaintes fera elle-même l’objet d’une plainte en retour pour procédure abusive et entrave à la liberté d’opinion et d’expression. Nous encourageons donc nos lecteurs à persévérer dans leurs lectures pour débusquer l’information derrière la communication officielle.

    Oui, l’automne sera chaud.

                                               ……………………………………….

     

    A propos de contexte difficile : chacun voudra bien se souvenir que le 25 septembre prochain, aura lieu le scrutin pour les sénatoriales. Les candidats se sont lancés depuis plusieurs semaines déjà dans la campagne. Il s’agit pour chacun d’entre eux de rencontrer le maximum de maires et de conseillers-électeurs pour les convaincre de faire le bon choix (eux, bien sûr). C’est dans cette perspective qu’un des sénateurs sortants, candidat à sa propre succession, a souhaité rencontrer le maire et les conseillers municipaux de Saint-Cyprien, tous votants. Rien que de très normal. Mais, que croyez-vous qu’il arriva ? La réunion eut bien lieu, en la seule présence de la majorité puisque les invitations ne parvinrent que le lendemain à l’ensemble de l’opposition…Même attitude, en pire, pour la venue d’un autre candidat, homme politique de 1er plan et dont la présence dans nos murs le lundi 5 septembre, a été portée à notre connaissance par d’autres sources que la communication municipale. Cela nous a valu une jolie pagaille en mairie : visiblement nous n’étions ni attendus ni souhaités par une majorité qui était présente dans sa quasi-totalité. En conséquence, après moultes palabres nous avons été scandaleusement interdits de réunion par le seigneur du lieu, puissance invitante ; au mépris de nos mandats et de toute règle républicaine. Le candidat aux sénatoriales a eu beau se mettre publiquement à la disposition de l’opposition, où et quand elle le souhaiterait, nous tous, opposés à cette majorité d’opérette, avons quitté les lieux, en grande colère mais surtout passablement révoltés…

    Ne cherchez aucune morale à cette triste histoire : il n’y en a pas !

    Voilà donc une fois de plus une basse manœuvre politicienne qui en dit long sur l’amoralité du pouvoir en place qui s’essaye à nier et à écraser ce qu’il ne peut contrôler.

    Qu’on se rassure : il n’y arrivera pas.

     

                                        …………………………………………

     

    Tout ce qui précède rappelle les affirmations véhémentes d’un membre de la majorité, qui, lors des premiers accrochages d’il y a presque deux ans, clamait avec forces moulinets : « c’est nous qui sommes élus(tiens, la minorité n’est pas élue ?), on fait ce qu’on veut », formule reprise et mise en application depuis par d’autres de son entourage et condamnée à l’époque par M.Romeo.

     

    « Vous faites fausse route » aurait dû leur dire pour le moins le duo Romeo/DeSars , les deux ralliés à la majorité, ralliés sur l’objectif avoué et prometteur d’un changement de méthode puisque le fond leur semblait bon ( !). Mais depuis ce ralliement, rien ne se passe et tout empire… L’autoritarisme désuet du maire s’accentue et par l’action zélée d’ hommes de main, donne à notre commune des allures de république bananière. Personne ne peut le contester. La nouvelle place d’adjoint de M.Romeo  reposerait-elle sur des obligations de silence? Changer la mentalité et les pratiques relèverait-il des douze travaux d’Hercule ?

    Contrat non rempli, M.Romeo, mais silence assuré…

    Nous constatons sans surprise que votre duo ne fait pas le poids. Tirez-en les conséquences car l’interprétation de votre « maintien aux affaires » est peu flatteuse !

     

                                            ……………………………………………

     

    Encore une fois, et pour terminer ce billet, nous allons donner un conseil (inutile bien sûr… mais de bon sens) à la « majorité »: fournissez les documents que l’on vous demande, répondez aux questions que l’on vous pose, faites réellement fonctionner les commissions, respectez la démocratie au lieu de la singer, cessez vos prétentions à l’autoritarisme, expliquez l’inexplicable (on ne sait jamais..), et vous n’aurez alors, dans les blogs, que silence, concert de louanges ou contre-propositions constructives.

    En l’absence de cette simple intelligence éthique et relationnelle, et face au constat désolant de procédures et de décisions inexplicables et suspectes, décisions que seule la justice pourra qualifier désormais, vous devrez continuer à faire face à l’indignation de tous ceux que préoccupe le devenir de notre ville. Le Préfet lui-même a été prévenu plusieurs fois des risques que de tels agissements font courir à l’ordre public. En vain jusqu’à présent. Or, la situation s’est fortement radicalisée au fil des mois, et nous pouvons tous craindre que le chemin soit court de la colère à la révolte. Pour l’instant, vogue la galère. Jusqu’à quand ? Nous avons beau souhaiter que l’indignation soit contenue dans les limites du respect des individus, cela ne nous empêche pas de juger les comportements et de les déclarer inadmissibles et peu respectables.

    Quant à savoir s’il existe un lien entre les comportements et les individus, nous laissons à chacun le soin de répondre.

    Nous, nous avons notre idée.

     

     

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    Published by Marie-Pierre Sadourny-Gomez